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Posts Tagged ‘Cuba’

Le 10 juin, alors qu’il était à Cuba, Hugo Chávez décide de se faire opérer d’urgence d’un abcès pelvien. Un simple furoncle sur les burnes, laisse-t-on entendre …
Le 21 juin, sans autres formes de nouvelles, il est toujours en convalescence à Cuba, mais il gouverne, indique son entourage.
Un peu curieux quand même, tout d’abord se faire soigner à l’étranger, y rester, même si une partie des Vénézuéliens est assez favorable à une absence définitive, ensuite ce silence et manifestement ce mensonge sur la gravité de son état de santé.
Les rumeurs vont bon train, le vice-président Elias Jaua refuse de le remplacer provisoirement bien que la constitution lui en donne non seulement le droit, mais aussi le devoir.
Cela dure maintenant depuis 11 jours, c’est énorme d’autant qu’aucune date de retour n’est avancée par les autorités, le compte twitter @chavezcandanga reste muet, bref, la question qui se pose peut se résumer ainsi, connaissant le personnage : Est-il gravement malade ou prépare-t-il un cirque médiatique du style « le Phoenix renaissant de ses cendres » à l’approche d’élections qui s’annoncent difficiles pour lui ?

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Le socialisme tropical, c’est quand même quelque chose !
Cristina n’a pas dit un mot… elle non plus.

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Le seul crime qu’avait commis Orlando Zapata Tamayo, mort mardi 23 février à La Havane des suites de sa grève de la faim à l’âge de 42 ans, était d’être en désaccord avec le régime cubain.

Il n’avait tué personne, ni volé, ni agressé quiconque. Il était simplement un opposant à Fidel Castro, et le disait, comme cela aurait été son droit le plus élémentaire dans n’importe quelle démocratie. Mais les dictatures sont justement nommées des régimes totalitaires pour ne laisser aucun espace à la liberté, aucun champ à la divergence d’opinions.

Le désaccord est une trahison, et demander la démocratie à Cuba est donc un crime. Comme la paranoïa est aussi au programme, ce crime, tellement odieux, ne peut-être qu’une perversion inspirée de l’étranger, et le dissident est bien évidemment, aux yeux du pouvoir cubain, un agent au service de la CIA et des Etats-Unis.

Lire Cuba : la mort d’Orlando Zapata, gréviste de la faim | Rue89.

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[…]Discret, voire secret, cet homme de l’ombre, sec et robuste, très éloigné de la sensibilité tropicale, est loin d’être un inconnu pour les Cubains. Symbole de la répression, Ramiro a en effet dirigé le ministère de l’Intérieur aux pires heures de la dictature : une première fois entre 1961 et 1969, puis à nouveau de 1978 à 1985. Impitoyable, le premier flic de Cuba se chargea alors d’écraser l’opposition, avant de s’en prendre aux homosexuels et à tous ceux que le régime considérait comme « déviants ». Surtout, « Ramirito » – son surnom – a dirigé la police politique du système qui, aujourd’hui encore, épie les faits et gestes des cadres dévoués au régime.[…]

via Ramiro Valdés, ce dur dans l’ombre des Castro.

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